Élargir les horizons de la Géorgie
Le sénateur Brandon Beach prend l'initiative de plaider en faveur d'un changement significatif dans la position de la Géorgie sur les jeux d'argent. Lors d'une récente réunion des comités conjoints sur le développement économique et le tourisme, le sénateur Beach a annoncé son intention de présenter une législation lors de la prochaine session législative. La législation proposée permettrait aux habitants de voter sur un amendement constitutionnel, ouvrant la voie aux jeux de casino, aux paris sportifs et aux paris mutuels.
Stimulation économique et recettes fiscales
Le sénateur Beach estime que la légalisation des jeux d'argent pourrait entraîner une stimulation économique substantielle pour la Géorgie, avec une estimation de jusqu'à 900 millions de dollars de recettes fiscales annuelles. Selon lui, ces recettes pourraient soutenir les infrastructures de l'État, les initiatives de santé, l'éducation et le traitement de la dépendance aux jeux.
Au-delà du jeu : Tourisme et emploi
Contrairement à la création d'une destination de type Las Vegas, le sénateur Beach envisage la création de complexes hôteliers avec casino qui attireraient les touristes et généreraient des opportunités d'emploi. L'effet domino sur l'économie s'étendrait au-delà des jeux, favorisant la croissance dans des secteurs tels que le commerce de détail et l'hôtellerie.
Transformation de la vie nocturne à Atlanta
Soulignant le manque d'activités nocturnes à Atlanta, le sénateur Beach voit le potentiel des complexes hôteliers avec casino pour transformer le paysage du divertissement de la ville. Au-delà du jeu, ces complexes contribueraient à la diversification des options de divertissement, comblant un vide actuel dans l'offre de la ville.
Régulation et surveillance
Selon la législation proposée, une nouvelle commission placée sous la Georgia Lottery Corporation superviserait et régulerait les activités de jeux d'argent dans l'État. Le sénateur Beach prévoit de présenter la législation le premier jour de la session législative de 2024, soulignant que la Géorgie manque actuellement de revenus significatifs par rapport aux autres États autorisant les paris.