Le Projet de Loi sur les Paris Sportifs de Géorgie de Retour au Sénat

Dater: 2024-01-11 Auteur: Dima Zakharov Catégories: LES PARIS SPORTIFS
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Le Projet de Loi sur les Paris Sportifs de Géorgie de Nouveau à l'Ordre du Jour

C'est une nouvelle passionnante pour les amateurs de paris sportifs en Géorgie. Le Projet de Loi du Sénat 172 a ressurgi dans l'agenda législatif de l'État. Proposé par le Sénateur d'État Bill Cowsert en février de l'année précédente, ce projet de loi fait son retour après avoir été temporairement mis de côté en août.

Poursuite de la Quête des Paris Légaux

Les objectifs principaux du Sénat 172 demeurent largement inchangés par rapport à la version précédente. Le projet de loi se concentre principalement sur des questions essentielles telles que les frais de licence et la fiscalité, visant à créer un cadre réglementé pour les paris sportifs en Géorgie.

Divers Types de Licences

Le Sénat 172 introduit différents types de licences, chacune soumise à des frais différents. L'octroi de ces licences serait supervisé par la Commission des Paris Sportifs de Géorgie. Parmi elles, une licence de paris sportifs de type un, permettant les paris sportifs en ligne, comporte des frais de demande de 100 000 $ et des frais annuels de 1,0 million de dollars.

Pour les paris physiques, une licence de paris sportifs de type deux est disponible, avec des frais de demande de 500 $ et des frais de renouvellement annuels de 1 000 $. De plus, une licence de distributeur de paris sportifs de type deux couvre l'approvisionnement en bornes de paris en libre-service, tandis qu'une licence de plateforme de paris sportifs de type deux permet les paris sportifs en points de vente au nom des titulaires de licences.

Pas de Limite de Licences, mais Exigences Minimales

Le projet de loi n'impose pas de limite au nombre de licences disponibles pour les opérateurs. Cependant, la Commission délivrera un minimum de six licences de type un et cinq permis de type deux.

La Fiscalité en Cours d'Élaboration

Bien que les taux de taxation spécifiques restent à déterminer, tous les titulaires de licences devront payer des impôts. Le projet de loi précise qu'une taxe annuelle de privilège sera imposée sur le revenu brut ajusté provenant des paris sportifs en ligne, comprenant 25 % du revenu brut ajusté provenant de certains paris et 20 % des autres. Les titulaires de licences de paris sportifs de type un devront effectuer des paiements mensuels.

Le sort du Sénat 172 repose désormais entre les mains du Sénat de Géorgie, alors qu'ils délibèrent sur l'avenir des paris sportifs dans l'État.
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